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Un traître à notre goût
John LE CARRÉ
Traduit de l’anglais
par Isabelle PERRIN
384 pages
Format : 14.5 x 22 cm
reliure souple illustrée
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2009. Peregrine Makepiece, dit Perry, est un jeune professeur de littérature anglaise à Oxford. Avant de décider s’il jette aux orties sa brillante et trop douillette carrière universitaire, il s’offre une escapade à Antigua avec sa petite amie Gail, une avocate. Là, sur un court de tennis, il fait la connaissance de Dimitri Krasnov – Dima -, un homme d’affaires russe. Cet ex-prisonnier du goulag est en fait un mafieux et un tueur… Poursuivi par ses rivaux, qui veulent l’abattre avec la complicité du Kremlin, Dima veut s’assurer la protection des services secrets de Sa Majesté en échange d’informations sur les circuits de blanchiment de l’argent sale. Perry, qui s’est pris d’affection pour Dima, va donc jouer l’ « espion » pour ce criminel « qui vient du froid ». Premier contact entre l’Est et l’Ouest : le central de Roland-Garros, où s’affrontent Federer et Söderling…
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L’Affaire Skize
Daniel Vasseur
208 pages
Format : 14 x 22.5 cm
reliure souple illustrée
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Juin 1871. Alors que Paris fume encore des incendies de la Commune, un cadavre est retrouvé dans les ruines du théâtre Saint-Martin. Le corps est identifié comme étant celui de Paul Skize, un dessinateur suisse. Crime crapuleux ou passionnel, acte de répression politique ? Charles Maubert, le brutal inspecteur de la Sûreté, et son adjoint, le jeune Emile Allard, se lancent sur la piste d’un fantomatique assassin dans les coulisses des théâtres parisiens – Skize a eu une maîtresse actrice – et dans les maisons de prostitution – où le Suisse rencontrait un diplomate américain. Mais rapidement, le mystère s’épaissit pour les deux enquêteurs : et si, finalement, le vrai Skize n’était pas mort ? Un formidable thriller historique avec, en vedettes, deux lascars qu’on souhaite revoir bientôt !
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Un été sans les hommes
SIRI HUSTVEDT
Traduit de l’anglais (états-unis)
par Christine Le Boeuf
176 pages
Format : 11.5 x 21.7 cm
reliure souple illustrée
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Lorsque, après trente ans de mariage, Boris demande à son épouse, Mia, de faire une « pause », et part avec sa jeune maîtresse, Mia craque. Jusqu’à devoir séjourner dans un hôpital psychiatrique après une bouffée délirante… Quelque temps plus tard, elle se rend, pour sa convalescence, dans le Minnesota, où elle est née et où réside sa mère. Le temps d’un été, Mia va faire la connaissance de plusieurs personnes attachantes, comme ces adolescentes à qui elle tente d’enseigner la poésie, ou encore ces vieilles dames originales, amies de sa mère, courageuses et pleines de sagesse. Cette saison sans hommes donne l’occasion à Mia de se poser, de réfléchir, et de comprendre, enfin, qu’elle peut exister par elle-même… Ce portrait, profond et sensible, est une formidable source d’énergie !
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This entry was posted on lundi, septembre 17th, 2018 at 23 h 19 min and is filed under Culture. Vous pouvez suivre les réponses à ce bulletin avec le fil RSS 2.0. Les commentaires et les pings ne sont plus admis.