Bonjour,
L’implantation d’un champ éolien va se heurter à la nouvelle législation qui s’annonce. Le parlement doit se pencher sur le sujet rapidement.
Après la centrale nucléaire qui, il faut bien le reconnaître, dénature un tant soit peu le paysage les éoliennes vont achever le panorama. Il suffit de traverser le département de la Meuse, sans aller trop loin, pour s’en rendre compte.
Avant l’installation, une étude précise est conduite par le concessionnaire qui vérifie si la situation est rentable. Ensuite, une fois implanté, il n’a cure des perturbations qu’il peut occasionner. Ainsi, à SORCY-Saint-MARTIN (55)
les habitants de ce petit village qui ne captent plus les chaines hertziennes se sont constitués en association pour obtenir gain de cause, sans succès. L’entreprise éolienne refuse de placer un filtre, même peu onéreux, mais dont la pose constituerait un précédent !
Le propriétaire du terrain où sont montés ces mâts hideux se frotte les mains mais la commune elle, avant la disparition de la taxe professionnelle, quel est son intérêt à terme ?
Je lis avec attention vos articles qui apportent un éclairage différent et intéressant, en particulier sur l’actualité locale. Il est bien dommage qu’ils ne suscitent pas plus de réactions ou de commentaires pour animer le débat d’autant qu’il est quasiment certain que les édiles consultent ces lignes.
Cordialement un lecteur.
Une lectrice
Difficile ! On ne peut qu’être favorable aux éoliennes. Ce qu’il faut vérifier c’est le cout d’investissement et d’entretien et leur durée de vie pour se faire une idée du cout réel du KWH. J’avoue ne m’y être jamais attardé.
Bien sur le lieu d’implantation reste problématique, dans un courant d’air, accessible, à proximité d’une ligne électrique, pas trop de pollution visuelle et le gros défaut semble-t-il c’est le bruit.
Alors la forêt, bien sur c’est mon domaine. Il ne faut pas en faire un terrain de jeux, ni un sanctuaire, mais c’est bien vrai qu’on s’en sert pour n’importe quoi. Je préfère des éoliennes à une route. Le gibier s’habitue aux bruits continus. La parcelle de forêt à proximité de la centrale où les tours de refroidissement font un vacarme infernal sont très giboyeuse. C’est rare qu’on n’y trouve pas de sangliers et des chevreuils.
Qui sont les heureux propriétaires des terrains sur lesquels seront implantées ces éoliennes ? Si c’est la commune c’est super, car semble-t-il, le montant du loyer du terrain est très interressant.
This entry was posted on mercredi, janvier 30th, 2019 at 11 h 53 min and is filed under Ecologie, Non classé. Vous pouvez suivre les réponses à ce bulletin avec le fil RSS 2.0. Les commentaires et les pings ne sont plus admis.