

Reg’Art 2010
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02
2020
![]() ![]() Reg’Art 2010Publié par HettangePassion dans Culture, Informations Hettange-Gde, Sœtrich, Non classé
Peak oil : pour quand ?Alors que des experts indépendants prévoient une chute de la production pétrolière à partir de 2015, les études officielles, présentées par les Etats et les compagnies, la situent entre 2030 et 2060 selon les organismes. Une polémique qui occulte le vrai débat, celui de l’épuisement certain des réserves et de l’impasse énergétique.
Peak oil : pour quand ?
Il est certes admis que le pétrole constitue une source d’énergie non renouvelable, mais la question de savoir à partir de quand exactement les réserves seront épuisées est loin de faire consensus. L’ASPO (Association for the study of peak oil), créée en 2000 par des experts européens en géologie, –dont d’anciens consultants auprès de Total ou de Shell-, estime que le « peak oil » pourrait intervenir vers 2015. Ce pic de production est défini comme l’instant à partir duquel la production pétrolière mondiale va commencer à s’effondrer irrémédiablement, faute de réserves suffisantes. Une situation de » déplétion » s’installera ensuite, jusqu’au déclin des ressources pétrolières. Depuis plusieurs années, l’Aspo alerte les gouvernements sur l’imminence de ce dernier choc pétrolier, et sur ses conséquences pour la planète. Seul expert français membre de l’Aspo, Jean Laherrère est un géologue qui a travaillé pendant trente-sept ans pour Total, et a participé aux campagnes d’exploration du groupe. Il situe le peak oil en 2015, avec un montant total de 3000 milliards de barils. Selon ses estimations, la production des pays de l’OPEP atteindrait un maximum vers 2020 et celle des pays hors OPEP vers 2010. Le pic de production du pétrole » conventionnel » serait ensuite suivi, entre 2030 et 2050, par celui du pétrole » non conventionnel « , c’est à dire le pétrole issu du charbon, d’huiles extra-lourdes ou de sables asphaltiques.
Bataille de chiffres
Dénonçant la falsification des chiffres sur les réserves pétrolières, Jean-Luc Wingert, auteur de l’ouvrage » La vie après le pétrole « , estime que » la notion de pic suivi de déclin est rejetée par de nombreuses personnes convaincues du progrès illimité de la science et des techniques (…) Les hommes politiques ne veulent pas parler de catastrophe, car cela supposerait qu’ils apportent des remèdes, ce qu’ils savent impossible « . Selon l’Aspo, les pays producteurs exagèrent leurs ressources car elles reflètent le patrimoine financier que les Etats valorisent ou déprécient selon leur intérêt du moment. Selon Colin Campbell, membre de l’Aspo, 46 % des ressources actuelles déclarées par les principaux pays de l’Opep seraient « douteuses, sinon fausses ». Pour les compagnies pétrolières, l’enjeu est évident. Leur valorisation boursière dépend en effet des réserves dont elles peuvent se prévaloir. Evoquant le risque d’image pour les entreprises comme pour les pays producteurs et consommateurs de pétrole, Jean-Luc Wingert souligne que » tous les dirigeants et hommes politiques sont jugés sur la croissance de leurs entreprises de leur pays, il ne vont donc pas parler d’arrêt de la croissance « . Réunie en mai dernier à Lisbonne, l’Aspo voit actuellement » le second âge du pétrole « , celui d’une ressource devenue chère, en passant de 10 dollars en 1998 à plus de 60 actuellement. D’ores et déjà, la banque d’affaires Goldman Sachs, leader mondial des produits liés l’énergie, a estimé que le marché du pétrole était entré dans une phase de « super hausse », qui pourrait encore faire grimper le prix du baril, jusqu’à 105 dollars…L’ère du pétrole cher signifierait un changement profond de nos modes de vie et de l’économie mondiale, théorie battue en brèche par les instituts nationaux. Ainsi, l’IFP (Institut français du pétrole) estime-t-il au contraire que » la fin du pétrole n’est pas pour demain « . L’institut affirme que le débat actuel sur le peak oil se nourrit de la flambée des prix mais qu’il existe bel et bien des » réserves prouvées « . » Celles-ci correspondent à 40 ans de consommation (…) A ces réserves dont l’existence est établie avec une certitude raisonnable, peuvent être ajoutées celles contenues dans les gisements restant encore à découvrir, qui représentent environ 1000 milliards de barils (…) Enfin, une partie des pétroles non conventionnels comme les sables asphaltiques et les bruts extra-lourds du Canada et du Venezuela, dont l’exploitation a déjà commencé, représente des quantités équivalentes aux réserves de pétrole conventionnel du Moyen Orient ». L’IFP fait également valoir que » ces données sont susceptibles elles-mêmes d’être revues à la hausse en fonction de l’évolution des techniques (…). Un prix du baril qui se stabiliserait au-dessus de 30 dollars pourrait rendre accessibles des ressources supplémentaires et assurer la rentabilité de nouvelles filières de production de carburants « . Reconnaissant néanmoins un probable pic de production entre 2025 et 2040, l’IFP y voit un » délai qui donne du temps pour réaliser de nouveaux progrès et mettre au point de nouvelles techniques, qui devra être utilisé pour repousser encore l’échéance, de manière à donner aux sociétés des pays consommateurs le temps d’adapter leur mode de vie et mettre au point des solutions alternatives comme, par exemple, la production de carburants à partir du gaz, du charbon ou de la biomasse « .
Avec 82 millions de barils consommés par jour dans le monde, la théorie de la substitution, à terme, du pétrole, laisse perplexe les experts de l’Aspo. En effet, ils prédisent également une déplétion pour le gaz naturel (2030) et le charbon (2050), ressources tout aussi épuisables que le pétrole. » Le pétrole et le gaz représentent aujourd’hui 60% de la consommation énergétique. Leur déplétion va nécessiter soit de réduire la consommation, soit de se tourner vers d’autres sources d’énergie », résume Jean-Luc Wingert (…) « Il n’existe pas de remplaçant unique au pétrole qui attendrait son tour en coulisse. L’avenir énergétique sera pluriel « .
Quelle que soit la date du pic de production, la question jusqu’ici occultée est de savoir comment remplacer le carburant le plus précieux au monde…Les transports dépendent toujours à 96% des hydrocarbures, et toute notre économie en général dépend du pétrole, l’industrie, l’agriculture, etc. Un récent rapport de l’AIE (l’Agence internationale de l’énergie, fondée en 1974 par 26 Etats membres de l’OCDE) intitulé « Saving Oil in a Hurry » (« Dépêchons-nous d’économiser le pétrole ») recommande, pour la première fois, aux gouvernements de préparer, sans plus attendre, les restrictions de leur consommation. L’AIE les invite à prendre des mesures comme la réduction de la vitesse à 90 km/h sur les autoroutes et la création de voies spéciales pour le covoiturage ; la baisse des tarifs, voire la gratuité des transports publics ; la circulation alternée durant certaines périodes ; le raccourcissement de la semaine de travail ; l’incitation au télétravail, etc. Un premier pas vers un changement de société ?
A lire : La vie après le pétrole, par Jean-Luc Wingert
Orthographe à l’école : le cri d’alarme d’une profProfesseur des écoles, Christiane, 52 ans, parle de génération « zapping » pour qui « faire des fautes » en français est anecdotique. Elle souligne les carences des méthodes pédagogiques et croit en une prise de conscience salutaire. « Les universitaires font le constat que le niveau d’orthographe et d’expression écrite a singulièrement baissé depuis une dizaine d’années, or c’est une clé pour des études et une insertion professionnelle réussies », a déclaré la ministre de l’Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, lundi 4 octobre 2010. Christiane*, 52 ans, professeur des écoles, dresse à son tour, sous couvert d’anonymat, un constat sévère sur la non-maîtrise du français par de nombreux élèves mais aussi, parfois, par certains professeurs sortis d’un « moule » pédagogique prohibant toute notion de sanction ou de faute. Interview. Quelle a été votre réaction à l’annonce de la mise en place dans les universités de cours de remise à niveau et de maîtrise de la langue française ? J’ai été la première surprise, quand bien même l’on sait le souci de l’Education nationale de rehausser les exigences et son souhait de retourner aux valeurs fondamentales de l’enseignement. Qu’est-ce qui, selon vous, explique la mise en place de tels cours ? Jusqu’à présent le niveau en orthographe n’était pas très exigeant, la culture générale primant. Mais aujourd’hui, on parle de revenir partout à une maîtrise de la langue française de plus en plus pointue. Peut-on parler de fossé entre le niveau d’aujourd’hui et celui d’il y a trente ans ? J’ai passé le concours d’Ecole normale en 1973, à la fin de la 3e. Les critères exigés étaient l’excellence en orthographe, grammaire et conjugaison, donc des dictées sans aucune faute. J’ai eu ma première classe en 1979 et déjà c’était la grande époque d’activité de l’éveil. La méthode pédagogique a été dès lors moins axée sur les apprentissages fondamentaux, bien que cela m’ait toujours tenu à cœur. Est-on devenu laxiste ? Je ne parlerais pas de laxisme. Il y a plusieurs raisons à la diminution des compétences en orthographe. Le nombre d’heures de français dans la semaine a baissé. Autrefois, le français et les maths primaient sur le reste et on passait beaucoup moins de temps sur l’histoire, la géographie ou les sciences. Ensuite il y a tout ce qui est du ressort de la génération elle-même, génération du zapping, des sms, où les jeunes n’ont pas le sentiment qu’il soit si important que cela de maîtriser l’orthographe. Les enseignants ne prennent-ils donc pas les mesures nécessaires pour éviter de laisser des jeunes passer le Bac avec des lacunes en français ? Ce n’est pas qu’ils ne prennent pas les mesures nécessaires, c’est simplement qu’ils n’y arrivent pas. Donc, à un moment donné, l’orthographe n’est plus une priorité parce qu’il y a aussi une forme de lassitude des enseignants face à une récidive des erreurs des enfants. A l’heure actuelle, on met en avant les compétences des enfants, leur acquis si vous voulez. On évalue leur savoir en fonction de ce qu’ils savent faire alors qu’il faudrait évaluer aussi leurs manques. De là une possible dérive : les enfants qui écrivent avec des fautes d’orthographe ne trouvent pas cela si grave. Quelles conséquences cela peut-il avoir pour l’avenir des jeunes ? La perte de la valeur de la langue française. C’est pourquoi il faut vraiment revenir sur quelque chose de très structuré, c’est d’ailleurs le but des programmes de 2008 qui remettent à l’honneur les enseignements fondamentaux. Pensez-vous que les cours de rattrapages proposés à l’université vont vraiment changer les choses ? Ça changera forcément quelque chose pour ceux qui ont vraiment compris l’enjeu de la maîtrise de la langue française, mais pour ceux qui n’y accordent pas spécialement d’importance, ils ne comprendront pas qu’à un moment donné, au cours de leur vie professionnelle, ils auront besoin de rédiger des lettres de motivation, des textes, des curriculum vitae, etc. Ils ne comprendront pas que c’est une nécessité de maîtriser l’orthographe. Le problème ensuite de ces lacunes, c’est le manque de vocabulaire ou le vocabulaire approximatif. La lecture est aussi très importante mais, comme cela a toujours été, certains aiment lire, pour d’autres ce n’est pas une priorité. Selon vous, y a-t-il un défaut de compétences et de travail de la part de certains enseignants ? Les professeurs travaillent beaucoup mais sont confrontés à une multiplicité de disciplines qu’il n’y avait pas auparavant. Dès l’école élémentaire, il y a désormais les langues vivantes, l’histoire de l’art… A cela s’ajoute la suppression de l’école le samedi matin, qui réduit le temps d’apprentissage. On eu aussi une génération d’enseignants qui ne maîtrisaient pas l’orthographe et qui n’ont pas pu servir de modèles aux enfants. Nous nous trouvons donc aujourd’hui dans une sorte d’impasse où il n’est pas utile de progresser en orthographe, l’accent étant mis sur la production d’idées dans l’écrit plutôt que sur la maîtrise de l’écrit. Ce qui louable, mais pas suffisant. Le système scolaire est-il en déclin ? Je ne parlerais pas de déclin car il y a une volonté de faire mieux, toujours plus. Il y a beaucoup d’énergie dépensée de la part des enseignants. Ils sont dévoués, polyvalents et travaillent sans compter avec les moyens qu’on leur accorde. Avec un temps réduit, avec des classes surchargées, avec de plus en plus d’enfants de milieux sociaux défavorisés, des enfants en situation de handicap. En plus d’enseigner, nous faisons du social. Les programmes aussi sont de plus en plus ambitieux et surchargés. En plus de l’enseignement de base en élémentaire, il y a les langues vivantes, l’informatique, la sécurité routière, etc. Ce qu’on demande aux enseignants est énorme. Aide personnalisée, différentiation pédagogique, des évaluations pointues et régulières. Ce n’est donc pas le manque de travail des enseignants qui pénalise les élèves. Comment faire prendre conscience de l’enjeu aux élèves ? Difficile à dire car on n’a plus une politique de sanction de la faute. Maintenant, on est dans une politique consistant à faire émerger les erreurs des enfants pour y remédier. Auparavant, les enfants étaient extrêmement attentifs aux fautes, parce que le français primait sur tout le reste. Quel que fût l’examen à passer, il fallait avoir une bonne maîtrise de la grammaire, de la dictée. Aujourd’hui, comme l’important n’est plus la faute mais l’erreur qui devient un outil pédagogique, les enfants n’ont plus cette pression les obligeant à être attentifs aux fautes qu’ils commettent, à revenir sur ce qu’ils ont écrit, alors qu’avant c’était systématique. C’est en train de changer, mais la prise de conscience par l’enfant des fautes commises ne se fera pas du jour au lendemain. Pourquoi a-t-on supprimé cette notion de faute ? Parce que le mot « faute » a un statut moral. La faute tient de la responsabilité de celui qui l’a faite tandis que les erreurs, tout le monde en fait, ça évite de culpabiliser l’enfant. Mais en le déculpabilisant, on laisse place chez lui à une forme de « zapping ». Il faut aussi que le français soit une matière transversale qui irrigue toutes les autres matières. Les enfants ont du mal à faire le transfert. Une leçon apprise en grammaire ou en conjugaison n’est pas toujours appliquée en histoire par exemple, alors que c’est la même chose. Quel conseil donneriez-vous aux personnes concernées ? Aux enseignants, continuez d’y croire, on a un certain nombre de billes entre les mains malgré le manque de temps. On revient, grâce aux nouveaux programmes de 2008 notamment, à des notions précises, on doit être rigoureux, dans la présentation du tableau, du cahier des enfants. La rigueur, ils adorent ça, mais attention à ne pas non plus tomber dans l’esprit de la sanction. Aux enfants, apprenez, attachez-vous aux mots, ayez cette curiosité du mot par la lecture ou dans les phrases entendues, soyez sûr d’avoir bien compris de quoi il s’agit, car le vocabulaire c’est la base de tout. Enfin, je dis aux parents qu’il faut qu’ils aient confiance dans les enseignants. J’ai une grande confiance dans les jeunes professeurs des écoles qui commencent le métier, qui ont compris ce qu’est l’enfant. Ils ont envie de fournir plein d’efforts pour ne pas les mettre en échec.
LE JARDIN DES REMPARTS (15 ha)
ContactPropriétaire(s) : Les Amis Des Vieilles Pierres Pour La Sauvegarde De Rodemack (Jardin Public) Jardinier(s) : Jardiniers bénévoles Téléphone : 03.82.51.25.01 Fax : 03.82.51.26.80 Site web : http://www.avp-rodemack.com Mail : avp.rodemack@free.fr Code postal : 57570 Ville : RODEMACK Localiser : LE JARDIN DES REMPARTS
DescriptifAu sud de la cité, calé entre le ruisseau longeant les fortifications, le Faulbach enjambé par un petit pont de bois, et la base du rempart, le jardin médiéval rappelle étonnamment ceux que l’on peut voir dans un exemplaire de la fin du XVème siècle du Séjour d’Honneur d’Octavien de Saint-Gelais. Type : A la française, Arboretum Eléments remarquables : Cours d’eau Eléments végétaux : Arbres remarquables, HistoriqueEn 1991, une convention de jumelage passée entre le Lycée Professionnel La Briquerie de Thionville et l’Association des Amis des Vieilles Pierres a permis à de nombreux étudiants en technologie de participer à la réalisation de ce jardin médiéval qui, grâce à eux, a pu s’effectuer en trois ans.
Pour Hettangepassion un ouvrage couvre l’actualité , celui d’Elisabeth BADINTER « la femme et la mère ». Une défense digne de la femme de son rôle et de sa présence dans la société. A une époque ou les représentants écologistes souhaitent réduire la femme à une laveuse de couches pour préserver l’avenir du monde ou une donneuse de seins pour faire des enfants plus intelligents « dixit »! il était urgent de remettre les choses au gout du jour et de rappeler que la femme à un besoin d’exister autre que celui prescrit par des talibans de la société. Dans une société il convient de faire attention aux équilibres. C’est la même Cécile DUFLOT patronne des verts écologistes Français qui déclare que les femmes doivent mettre à leurs enfants des couches lavables et donner le sein qui ajoute que la viande halal au quick ce n’est pas un débat, les gens n’ont qu’à manger du poisson…Décidément cela vol haut !!!Arnaldur Indridason domine les ventes de romans avec Hypothermie. Du côté des essais, la polémique profite aux ventes de son dernier ouvrage d’Elisabeth Badinter, Le Conflit. La femme et la mère. Tel un skieur de fond nordique remportant une victoire au sprint à Vancouver, l’ Islandais Arnaldur Indridason, débarqué la semaine dernière à la 2ème place avec Hypothermie (Métailié), caracole en tête. Avec le Suédois Stieg Larsson et le Norvégien Jo Nesbo, Indridason constitue le trio gagnant des auteurs de polars venus du froid et familiers des meilleures ventes. Pour l’heure, celles-ci tournent autour des 14.000 exemplaires, une bonne nouvelle pour l’ éditrice Marie Métailié qui a accueilli Indridasson il y a cinq ans avec La Cité des jarres. C’en est une aussi une pour le commisaire Erlendur, ce misanthrope laconique que seule la quête de la vérité empêche de sombrer dans la mélancolie. Philippe Djian : le retour Deuxième fait marquant de la semaine, l’entrée au palmarès, en 5ème position, de Philippe Djian. A en croire son fan-club, Incidences (Gallimard) renoue avec un ton, une langue, une dramaturgie qu’il semblait avoir snobé avec la série Doggy Bag. L’histoire ? Un professeur d’université chargé d’un atelier d’écriture pour devenir, paraît-il, écrivain, aime si fort ses étudiantes qu’il lui arrive de se retrouver à leur côté au petit matin. Tout irait dans le meilleur des mondes, s’il ne s’était pas réveillé un petit matin avec l’une d’entre elles, « sans vie, froide ». Comment se débarrasser du corps ? Djian a une solution originale. Et de belles idées sur le devenir de la littérature. L’outsider: David Vann Troisième fait marquant, et bonne surprise de la semaine, l’arrivée – à la 9ème place – de Sukkvan Island, premier roman de l’ Américain David Vann, publié chez Gallmeister. L’Express a été un des premiers à évoquer cette virée en Alaska entre un père et son fils, qui tourne au cauchemar. « Commence alors la période Délivrance, écrit Jérôme Dupuis. Si vous avez aimé le film de John Boorman – son banjo, sa rivière, ses cris de cochon… – vous allez adorer Sukkan Island – son silence, son océan, ses rugissements de grizzlis. » L’instinct maternel: un débat passionné Elisabeth Badinter déboule littéralement en première place du palmarès essai avec Le Conflit. La femme et la mère (Flammarion), un essai qui a immédiatement suscité la polémique. Comme il y a trente ans avec L’Amour en plus (Flammarion), la philosophe implore les femmes de ne pas céder à l’exigence d’être une mère idéale. Les femmes, écrit-elle, sont sommées de réussir leur vie professionnelle et leur « métier » de mère, mais elles ne doivent céder ni au chantage, ni à la culpabilité. Dans un tout autre registre, Métronome. L’Histoire de France au rythme du métro parisien (Michel Lafon), le best-seller de Lorant Deutsch, perd la première place, mais domine la catégorie avec 22 semaines de présence. A noter, par ailleurs, l’arrivée, en 3ème place, de l’économiste Joseph E. Stiglitz, avec Le Triomphe de la cupidité (Les Liens qui libèrent). Quant aux ex-footballeurs Lilian Thuram et Jean-Michel Larqué, ils défendent leur place dans le pack de tête. Nous recommandons à ce sujet enquête que nous publions cette semaine, signée Jérôme Dupuis et Delphine Peras, Les « nègres » s’affranchissent : « une plongée dans l’univers des forçats de la plume qui coécrivent les livres des stars ». Pour le reste, rien de bien neuf dans les rayonnages. Underworld, de James Ellroy gagne deux places et s’installe en deuxième position (50.000 exemplaires vendus en six semaines). Anna Gavalda, qui précédait l’Américain, le talonne cette fois, avec, certes, des ventes phénoménales sur la durée : plus de 403.000 exemplaires en trois mois et demi. Quant aux suceurs de sang, ils sont la preuve que l’hémoglobine est un gage de succès littéraire. Les Ames de l’ombre (Hachette jeunesse), 3ème tome du Journal d’un vampire de la Californienne Lisa Jane Smith perd la première place (pour la 4ème), mais double quasiment ses ventes ( de 15.000 à 28.000 exemplaires). Pour ceux, enfin, qui ont la mémoire courte, Le Symbole perdu (Lattès) de Dan Brown atteint les 635.000 exemplaires.
Les immortels de l’académie Française ont ouvert la saison des prix littéraires. C’est Nagazki, d’Eric Faye qui a remporté le prix 2010. « Clandestine depuis un an Il s’étonnait de voir des aliments disparaître de sa cuisine : un quinquagénaire célibataire des quartiers sud a installé une caméra et constaté qu’une inconnue déambulait chez lui en son absence. » Un simple fait divers dans un quotidien du matin à Nagasaki. En 1992, l’union soviétique s’effondre et la population estonienne fête le départ des Russes. Mais la vieille Aliide, elle, redoute les pillages et vit terrée dans sa maison, au fin fond des campagnes. Ainsi, lorsqu’elle trouve Zara dans son jardin, une jeune femme qui semble en grande détresse, elle hésite à lui ouvrir sa porte. Ces deux femmes vont faire connaissance, et un lourd secret de famille va se révéler, en lien avec le passé de l’occupation soviétique et l’amour qu’Aliide a ressenti pour Hans, un résistant. La vieille dame va alors décider de protéger Zara jusqu’au bout, quel qu’en soit le prix. Sofi Oksanen s’empare de l’Histoire pour bâtir une tragédie familiale envoûtante. Haletant comme un film d’Hitchcock, son roman pose plusieurs questions passionnantes : peut-on vivre dans un pays occupé sans se compromettre ? Quel jugement peut-on porter sur ces trahisons ou actes de collaboration une fois disparu le poids de la contrainte ? Des questions qui ne peuvent que résonner fortement dans la tête des lecteurs français. Sofi Oksanen est née en Finlande en 1977, d’une mère estonienne et d’un père finlandais. Elle est devenue en trois romans et quelques pièces de théâtre un personnage incontournable de la scène littéraire finlandaise. Purge a marqué la consécration de l’auteur, qui a reçu en 2008 l’ensemble des prix littéraires du pays, mais le roman a également enrichi le débat historiographique sur cette période de l’occupation soviétique. Meurtres pour rédemption
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ORIGINE ET HISTOIRE DU VENDREDI SAINT
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![]() C’est d’abord à Jérusalem que l’on a célébré le Vendredi saint. CÉLÉBRATIONS ET PRATIQUES DU VENDREDI SAINT |
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Vendredi SaintLe Vendredi Saint est célébré cinq jours après le Dimanche des Rameaux. C’est un jour bien triste jour pour les chétiens, puisque Jésus est mort sur la croix ce jour-là. Ses disciples étaient persuadés qu’il ne reverraient plus jamais. En anglais, le Vendredi Saint est appelé « Good Friday », au début on l’appelait « God’s Friday » mais la consonance a fait en sorte que c’est devenu « Good Friday ». C’est de cette façon que de God’s Friday on est passé à Good Friday. Dans certains pays, on appelle ce jour, Big Friday, Holy Friday ou Silent Friday. Tous les chrétiens à travers le monde célèbrent le Vendredi Saint en allant à l’église ce jour-là. En Espagne, au Mexique et dans plusieurs pays de l’Amérique du Sud, Les gens organisent des parades tous les jours de la semaine Sainte. La parade du Vendredi Saint est la plus triste. Les gens envahissent les rues bien avant le levée du soleil. Les tambours résonnent et les cloches sonnent lentement. Les gens transportent des statues de Jésus, et de la Vierge Marie. Les gens longent les rues pour regarder la procession en chantant des cantiques.Tous le monde est triste, il ne reste plus que deux jours avant Pâques, ce jour en sera un de réjouissance.
Dimanche de PâquesLe Dimanche de Pâques est un jour de réjouissance. C’est le matin de Pâques que les disciples de Jésus apprirent qu’il était vivant. Ils allèrent au tombeau où Jésus avait été enseveli. Ils virent que la pierre qui fermait le caveau avait été déplacée. Le tombeau était vide. Jésus est ressuscité. Il promit une vie nouvelle pour tous ceux qui croieraient en lui. Les chrétiens célèbrent Pâques en se rendant à l’église. L’église est décorée de fleurs et de chandeliers. Les cloches sonnent.
Lundi de PâquesOn a souvent des jours pluvieux au printemps, mais le Lundi de Pâques est un jour humide pour bien d’autres raisons. Il y a très longtemps, l’eau était très présente le Lundi de Pâques. Les filles se lavaient le visage avec de l’eau de source ou avec la rosée du matin, la légende disait qu’elle deviendrait plus jolie. Dans certaines parties de l’Europe, c’était la journée pour jeter ses amis à l’eau, et c’est pourquoi en Hongrie, ce jour est appelé Ducking Monday. Aujourd’hui en Hongrie, les garçons aspergent les filles de parfum. Ceci porte chance. Les filles doivent récompenser les garçons en leur donnant soit de l’argent ou des oeufs de Pâques. En Angleterre, la coutume pour les Lundi et Mardi de Pâques est appelé « lifting » ou « heaving ». Les jeunes gens vont de maison en maison en transportant une chaise décorées de fleurs. Quand une fille s’assoie sur la chaise, ils la soulèvent dans les airs trois fois. Etre soulevée de la sorte, devrait porter chance à la jeune fille. Elle remercie le garçon en lui remettant de l’argent ou en l’embrassant. le lendemain, c’est au tour des filles de soulever les garçons dans la chaise.
2. Le jeûne du Vendredi saintObligation du jeûne du vendredi saint – Le jeûne du vendredi saint et du mercredi des cendres sont seulement demandés par l’Église depuis 1949. Ces jours là, le maigre et le jeûne sont obligatoire. Si on prend un repas à midi, on ne prend qu’une légère collation le soir ou réciproquement. Dispense du jeûne du vendredi saint – Sont dispensés du jeûne du vendredi saint, les personnes de plus de 60 ans, les jeunes de moins de 18 ans accomplis et les femmes enceintes. Signification du jeûne du vendredi saint – La signification du jeûne du vendredi saint comporte deux aspects. C’est un jeûne de deuil pour le jour de la crucifixion du Christ. C’est aussi un jeûne pascal : avoir faim du Christ pour disposer le cœur à mieux accueillir le Seigneur ressuscité.
Pour les catholiques croyants et pratiquants, le vendredi saint est le jour anniversaire où Jésus Fils de Dieu est mort pour nous. Pour s’imprégner de Sa Grâce et aussi par pénitence, l’Église impose à ses fidèles un jour de jeûne et d’abstinence, plus ou moins suivi suivant les consciences et les motivations de chacun. Quand on dit abstinence, cela veut dire de s’abstenir de consommation de graisse animale et donc de viande, effort qui est demandé tous les vendredis de car
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Commentaires fermés sur Origine et histoire du vendredi saint.
Oui mais voilà, à l’âge des brouettes et des charrettes on ne parlait pas d’explosion du CO2.
Pendant toutes ces périodes, il a fait très chaud et puis la Terre a retrouvé ses valeurs… Alors, en filigrane de tous ces événements incontournables, une question s’impose : comment la planète s’en est-elle sortie aussi bien ? Serait-elle finalement capable de rétablir elle-même son équilibre ?
Et si la Terre pouvait s’accommoder de nos excès ? Et si la nature possédait des ressources insoupçonnées pour digérer nos folies et générer des contre-feux ?
Après « Le Grenelle de l’environnement » et les déclarations des scientifiques au sujet du réchauffement climatique, Laurent Cabrol prend le contre-pied des thèses les plus alarmistes à ce sujet. Preuves à l’appui, il défend celle selon laquelle notre planète, seule, gérerait son désordre climatique ; son histoire le prouve !
Ce document passionnant met à mal un enjeu politique majeur de nos sociétés.
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Commentaires fermés sur On murmure que Ecole de musique…. les lecteurs nous écrivent
Que serait une commune sans musique…..!
Présente tout au long de l’année pour célébrer ici une fête , là des festivités officielles, la lyre d’ Hettange est présente. Les plus anciens comme Alain Dubois parlent des moments riches en émotions et de souvenirs inoubliables, d’autres confirment cette belle histoire d’amour. La lyre sera encore là ce dimanche place des fêtes pour animer les lieux et le vide grenier.
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