

11 Novembre 2010 au Immerhof
Publié par HettangePassion dans Guerre et souvenir., Informations Hettange-Gde, Sœtrich
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Archive pour la catégorie “Guerre et souvenir.”
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![]() ![]() 11 Novembre 2010 au ImmerhofPublié par HettangePassion dans Guerre et souvenir., Informations Hettange-Gde, Sœtrich
Nombre d’Hettangeois vont se rendre au cimetière pour ce 1er novembre.Nous remettons en évidence cet article. Nous sommes heureux de voir et de constater que suite à nos articles sur le colombarium de travaux ont été effectués . Nous pensons également que le mur d’enceinte du cimetière aurait mérité d’être reconstruit en pierres de tailles comme à son origine. Nous trouvons décevant le choix de la municipalité. Soldat inconnu (HETTANGE GRANDE)Maréchal Jean MALHERBE.
Maréchal des logis, chef artificier Mort au champ d’honneur le 26/06/1940. sur le territoire de la commune d’Hettange Grande. Depuis plusieurs années, le Maréchal des logis MALHERBE était dans l’indifférence enterré à Hettange Grande. Une tombe à l’abandon pour un soldat tombé sur le sol de notre commune à une époque ou beaucoup d’entre nous n’étaient pas là. En ce 1 Novembre 2008, au moment ou j’accompagne ma mère et d’autres membres de ma famille au cimetière dans le respect de ce devoir de mémoire, je constate que cette tombe qui voilà quelques semaines se trouvait dans un état d’abandon est recouverte de pierres blanches, fleurie, digne d’un homme qui a perdu sa vie pour sauver la notre!!! Jusqu’à présent ma mère ma soeur et moi même, tenions à y déposer des fleurs en mémoire. Néanmoins la tristesse ne pouvait disparaitre devant cet état d’abandon. En sortant du cimetière, je rencontre René THOMAS conseiller municipal chargé du cimetière mais aussi membre du souvenir Français, je lui exprime mes remerciements pour avoir pris soin de rendre à cet homme le respect et sa légitimité. René THOMAS accepte avec sourire mes remerciements et déclare que des gens qui me sont proches ont largement contribué à faire bouger les choses. J’ai demandé à notre humble serviteur la possibilité de voir attribuer au soldat MALHERBE le nom d’une rue dans notre commune, je ne doute pas que cela puisse se faire dans les prochaines années et je souhaite que les instances municipales soient sensibles à cette requête. Merci à toi René d’avoir pris en compte ce dossier, merci aux instance municipales , comme quoi avec de l’ écoute et un peu de courtoisie on arrive à régler des problèmes. Pour la mémoire du soldat MALHERBE.
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![]() ![]() La première guerre mondiale se termine dimanche…Publié par HettangePassion dans Actualité, Guerre et souvenir.Financièrement, la Première Guerre mondiale se termine dimanche
LU SUR…
![]() Ce dimanche 3 octobre 2010, les Allemands pourront enterrer officiellement la Première Guerre mondiale. C’est en effet ce jour-là que l’Allemagne soldera définitivement sa dette héritée de la Grande Guerre, près d’un siècle après le début de celle-ci, rapporte le journal allemand Bild. «Le montant restant à payer est de 69,9 millions d’euros, une somme prévue au point 2.1.1.6 du budget fédéral 2010, intitulé « Dettes réglées à l’étranger »», précise le quotidien. «La plupart de l’argent ira à des particuliers, des fonds de pensions et des sociétés d’emprunts obligataires, comme convenu dans le cadre du traité de Versailles», ajoute The Daily Telegraph. Une dépêche AFP relayée par Cyberpresse.ca expliquait l’année dernière pourquoi, 92 ans après la fin du conflit, l’Allemagne continue à payer. En 1919, le traité de Versailles imposait aux Allemands le paiement de 132 milliards de marks-or. Ruiné et frappé par une grave crise économique au début des années 1920, puis par la Grande Dépression, le pays était cependant incapable de s’acquitter de ces colossales réparations. L’Allemagne avait alors emprunté pour satisfaire aux exigences du traité. En 1932, le moratoire Hoover annulait finalement ces réparations, mais il restait encore à l’Allemagne à rembourser les emprunts contractés pour leur paiement avant cette date. L’Allemagne nazie avait cessé les remboursements pendant la Seconde Guerre mondiale. A l’issue de celle-ci, l’Accord de Londres signé en 1953 entre la RFA et une vingtaine d’autres pays renvoyait à l’après-réunification la question des remboursements. La charge des intérêts incombant encore à l’Allemagne devait être réglée sur une période de vingt ans après la réunification, qui n’était alors qu’une hypothèse. Le 3 octobre 1990, la RFA et la RDA se sont réunifiées, et le paiement des intérêts a repris. Ainsi, «entre 1990 et 2010, presque 200 millions d’euros ont été payés» par l’Allemagne à ses créanciers, affirmait fin 2009 Boris Knapp, le porte-parole de l’Agence financière allemande, en charge de la dette. Dimanche, pour le vingtième anniversaire de sa réunification, l’Allemagne tournera donc une nouvelle page de son histoire. Photo: La signature du traité de Versailles en 1919. US National Archives via Wikimedia Commons, domaine public
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![]() ![]() Immerhof A10- Programme visites 2010 et accès.Publié par HettangePassion dans Culture, Guerre et souvenir., Informations Hettange-Gde, Sœtrich
18 juin 1940 L’appel du 18 juin
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2018
![]() ![]() Vendredi 8 Mai. 65 EME ANNIVERSAIRE 1945. Hettange Grande.Publié par HettangePassion dans Guerre et souvenir., Non classéProgramme: Monsieur le Maire d’Hettange Grande et l’UIACAL ont l’honneur de vous inviter aux festivités organisées par la municipalité et les anciens combattants. 09 h 45 : Rassemblement Place de la Mairie. 10h 00/ Messe solennelle à la mémoire des victimes de la guerre. 10h45/ Dépôt de gerbes au Monument aux morts et remise de médailles. 11 H 15 : Vin d’honneur salle Blondin.
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2018
![]() ![]() Août 1961 – Berlin – Novembre 1989Publié par HettangePassion dans Actualité, Guerre et souvenir.[youtube 9SNETsvma74] [youtube HxsexRjNcb4] [youtube 4VIfRkvV9MU]
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![]() ![]() Michael GORBATCHEV, artisan de la fin du communisme et de la chute du mur…Publié par HettangePassion dans Actualité, Guerre et souvenir.La fin du communisme et ses conséquencesEn 1989, la chute du mur de Berlin surprend tout le monde. Mais la chute du mur n’est pas la chute de l’URSS et donc du communisme. La chute de l’URSS se déroule en 1991 et dès lors le monde s’en trouve complètement modifié. Les conséquences sont diverses et laisse surtout la place aux Etats-Unis qui peuvent désormais s’imposer. Quelles sont les conséquences de la chute du communisme en 1991 sur le monde ? 1) La disparition du bloca) Sous GorbatchevA partir de 1985, le nouveau dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev relance la politique de détente. Il souhaite moderniser son pays avec deux plans :la Perestroïka et la Glasnost . Les négociations de désarmement reprennent et l’URSS se retire des conflits où elle est engagée en Afrique et en Afghanistan. L’URSS resserre sa tutelle sur les démocraties populaires où les aspirations capitalistes et libérales amplifient. b) La chute du murLa contestation qui a débuté en Pologne aboutit à l’effondrement des régimes communistes en Europe de l’Est. Le mur de Berlin est ouvert le 9 novembre 1989 et l’Allemagne est réunifiée en 1990. En 1991, l’Etat Fédéral de l’URSS est remplacé par une CEI c’est à dire une communauté d’Etats Indépendants destinée à développer la coopération économique, culturelle et militaire entre les anciennes républiques soviétiques. Après la démission de Gorbatchev, l’éclatement de l’ex-URSS s’accélère. Des guerres opposent les peuples des anciennes républiques soviétiques. En Europe, certains Etats se divisent : ex-Yougoslavie, ex-Tchécoslovaquie. 2) Quel avenir ?a) Les Etats-Unis s’imposentLes régimes communistes se sont effondrés sauf en Chine, Corée du nord, Viêt-Nam et Cuba. Les relations économiques et militaires entre les membres du bloc soviétique ont disparu et les pays sortis du bloc soviétique vont s’intégrer progressivement aux organisations occidentales du type militaire comme l’OTAN ou économique comme dans l’Union Européenne. Les Etats-Unis sont désormais la seule superpuissance et ils jouent le rôle de « gendarme du monde ». En 1991, ils interviennent au nom de l’ONU dans la région du Golfe persique pour défendre le Koweït envahi par l’Irak et pour préserver les intérêts dans la première région exportatrice de pétrole au monde. b) La fin de la guerre froideL’affrontement Est-Ouest n’existe plus. Le monde est sorti de la guerre froide. Mais les risques de la guerre ne sont pas pour autant écartés. L’ONU est de plus en plus sollicité pour résoudre de nombreux conflits liés à la réorganisation des Etats après la chute du communisme comme en Yougoslavie. Les conflits régionaux sont d’autre part nombreux comme au Proche-Orient. Les Etats-Unis sont devenus la cible d’Etats et de mouvements qui refusent l’hégémonie américaine sur le monde. Des attentats visent les intérêts américains , le plus traumatisant étant celui du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center. La fin du communisme a eu des répercussions sur le monde dans le sens où la place est vacante pour les Etats-Unis qui peuvent dominer le monde et imposer ses choix décisionnels. Mais si dans un premier temps, les Etats-Unis dominent, avec la formation de l’Union Européenne, l’idéologie américaine est affaiblie. Enfin, les Etats-Unis sont critiqués dans leur engagement militaire en Irak lors de la seconde guerre du Golfe qui est un second Viêt-Nam pour eux. Finalement, la consolidation de l’Union Européenne créée un contre-pouvoir face aux Etats-Unis de plus en plus critiqué.
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![]() ![]() Lech WALESA, acteur de la chute du communisme…Publié par HettangePassion dans Actualité, Guerre et souvenir.
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2018
![]() ![]() Jean Paul II, principal artisan de la chute du communisme et du mur de Berlin…Publié par HettangePassion dans Actualité, Guerre et souvenir.Jean-Paul II, artisan de la chute du communismeSi le combat de Jean-Paul II contre le communisme, «système totalitaire et injuste», est une réalité incontestable et s’il a largement contribué à déstabiliser les démocraties populaires, il est néanmoins abusif de le réduire à la simple qualité de «pape anti-communiste». En effet, à peine refermé l’épisode du rideau de fer, l’inlassable prêcheur, citant son prédécesseur Léon XIII, a reconnu que l’idéologie marxiste contenait des «graines de vérité» qui «ne doivent naturellement être ni détruites, ni perdues». A l’inverse, selon lui, de «nombreux et graves problèmes sociaux (…) trouvent en partie leur origine dans des manifestations dégénérées du capitalisme».
«J’ai grandi là-bas. J’ai donc amené avec moi toute l’histoire, la culture, l’expérience, la langue polonaise. Ayant vécu dans un pays qui a été obligé de lutter pour sa liberté, dans un pays exposé aux agressions et aux diktats provenant de ses voisins, j’ai été amené à profondément comprendre les pays du tiers-monde (…). J’ai compris ce qu’est l’exploitation», déclarait Jean-Paul II lors du long entretien avec le député européen Jas Gawronski, publié en 1993, et au cours duquel il dit l’essentiel et notamment qu’il a puisé son engagement au cœur de sa Pologne natale, «démocratie populaire» athée et satellite d’un système soviétique autoritaire et anti-démocratique.
C’est là que, rompu à la dialectique du matérialisme historique, le jeune prêtre Karol Wojtyla va engager dés le début des années 50 ses premiers combats déterminants pour la liberté religieuse. Combats pacifiques et obstinés pour la construction d’église (Nowa Huta), ferveur paysanne contre matraques et gaz lacrymogènes, mais qui ne tardent pas à révéler une véritable stratégie de harcèlement du système. Le Vatican le soutient. Et bien qu’il s’en défende et prenne le soin d’entourer systématiquement ses propos de références religieuses, le cardinal-archevêque de Varsovie se montre un redoutable politicien dont l’habileté est notamment d’avoir su placer la relation du peuple à Dieu au-delà du lien qui unit le citoyen à son gouvernement. Et dont le génie est d’avoir su ramener le communisme à un bref épisode historique incapable de rivaliser avec le caractère divin de la mission de l’Eglise. Ainsi, avec l’évocation du martyre des premiers chrétiens, c’est l’appareil d’Etat qui est visé et derrière les paraboles il accumule les provocations à l’égard du pouvoir. Tant et si bien que l’Eglise n’est plus le lieu de résistance des seuls croyants, mais des opposants chrétiens et laïcs, y compris de gauche. C’est dans ce contexte d’effervescence et de contestation politico-religieuse que le syndicat dissident Solidarnosc apparaît en 1977. Les biographes du pape estiment que c’est au cours de cette période que le futur chef de l’église catholique va élaborer l’essentiel de sa stratégie contre le communisme. Karol Wojtyla devient Jean-Paul II le 16 octobre 1978. Quelques mois plus tard, en juin 1979, c’est à sa chère Pologne qu’il consacre son premier voyage et réunit une foule si considérable qu’elle prend alors pleinement conscience de sa puissance. Les grèves se multiplient, le pouvoir est déstabilisé. Fin 1981, lorsque celui-ci à bout d’arguments instaure la loi martiale, Solidarnosc compte 10 millions d’adhérents, et est soutenu par une profonde vague sociale. L’histoire n’est pas terminée mais, pour la première fois, un régime communiste est profondément ébranlé. Et il ne l’est pas par les bombardiers stratégiques de l’adversaire mais par son propre peuple. Il tombera huit ans plus tard, avec les autres. Entre-temps Jean-Paul II est devenu un chef d’Etat qui poursuit au niveau planétaire ce qu’il a démarré à l’échelle de son pays. Le dernier maître communiste du Kremlin lui a rendu cet hommage: «Rien de ce qui s’est passé en Europe de l’Est n’aurait été possible sans la présence de ce pape», a reconnu Mikhaïl Gorbatchev. Un compliment que Jean-Paul II aurait pu retourner à l’artisan de la perestroïka. Mais ce combat se livre également sous toutes les latitudes et au sein même du Vatican où, dés son arrivée, Jean-Paul II porte un coup d’arrêt à la politique d’ouverture aux pays de l’Est initiée par ses prédécesseurs. Homme de paix, il veut néanmoins tenir l’Eglise à l’écart du pacifisme, pourtant en plein essor à l’Ouest. Enfin il mène une lutte acharnée contre les prêtres progressistes d’Amérique du Sud engagés dans la théologie de la libération, qu’il interprète comme une concession aux thèses marxistes. Après le communisme, les fausses idoles Le début du pontificat de Jean-Paul II est à ce point marqué par la problématique anti-communiste que nombre d’observateurs critiques se sont interrogés sur une alliance tissée entre le Vatican et la CIA. L’hypothèse est séduisante tant les intérêts de l’Amérique de Ronald Reagan et ceux du Vatican de Jean-Paul II paraissaient se croiser. Pourtant si la «sainte alliance» se vérifie de façon objective dans un combat commun contre l’Union soviétique et ses satellites à l’Est et les prêtres dissidents d’Amérique latine, aucun élément concret ne vient conforter cette thèse et il est historiquement indiscutable que l’engagement de Jean-Paul II n’a pas attendu le feu vert de la Maison Blanche. L’effondrement du mur de Berlin et la fin de l’empire soviétique ne mettent toutefois pas un point final à l’engagement pontifical dans ce registre diplomatique. Dès l’affaire classée, ce pape engagé dévoile d’autres messages, en forme de paradoxes qui révèlent qu’il n’est au service que de la seule doctrine d’une l’Eglise infaillible, colonne vertébrale de sa philosophie politique. Une fois le communisme définitivement liquidé, Jean-Paul II va s’attaquer aux ravages d’une autre idéologie qui, débridée et toute-puissante, se montre tout aussi dévastatrice: le capitalisme. Et, de la même manière que son pays avait cristallisé son combat contre l’ancien monde, la Pologne fut à l’aube des années 90 au centre de ses mises en garde contre l’adoration des nouvelles et fausses idoles. Dans ce rare entretien, publié en 1993 et cité plus haut, Jean-Paul II appelle ses compatriotes à la prudence à l’égard de la fascination qu’ils éprouvent pour l’intégration de leur pays au sein de l’Union européenne car, dit-il, «ce projet implique pour ses promoteurs l’introduction en Pologne, par la force de la propagande, d’un système ultra-libéral de consommation, dépourvu de valeurs». Selon lui, «il est important qu’elle (la Pologne, ndlr) puisse s’y intégrer avec ses propres valeurs, non pas en s’adaptant sans critique et de façon aveugle aux coutumes occidentales, en assimilant le pire».
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