Merci à vous d’avoir complété votre article initial. Force est de reconnaitre qu’il est toujours plaisant d’écouter les connaisseurs et amoureux de l’art.


Le monde de Niki

Les sculptures de Niki de Saint Phalle semblent sortir tout droit d’un conte de fées, c’est un univers enchanté aux formes généreuses ,aux couleurs éclatantes.
C’est parce  sa vie n’a pas toujours été joyeuse ,le monde l’a rendait triste , qu’elle a crée son monde, où règnent le bonheur et la oie.
C’est un monde peuplé de personnages extraordinaires…elle laisse cours à son imagination.

Les nanas de toutes les couleurs

Ce sont des femmes aux couleuirs vives et aux formes généreuses ,faites d’armatures métalliques.L’idée de ces drôles de sculptures est venue à Niki de Saint Phalle en voyant le dessin d’une femme enceinte.Leurs courbes douces et arrondies évoquent une présence maternelle  et protectrice .
Ce sont aussi des femmes pleines de vie et d’énergie , prêtes à conquérir le monde des hommes.

Certaines Nanas sont petites d’autres atteignent les 3 mètres de haut et on peut y pénétrer.
A l’intérieur on ressent une atmosphère calme et paisible à l’abri du monde
Niki rêvait de vivre à l’intérieur d’une sculpture: « un espace tout en rondeurs ondulantes sans aucun angle pour m’effrayer, m’attaquer.

La tempérance 1992 Luxembourg ville

Vous êtes sans doute déjà passé Place Emile Hamilius à Luxemburg ville .Cette immense  sculpture a été acquise par La Banque Générale du Luxembourg, L’Entreprise de Poste et Télécommunications et la ville de Luxembourg lors de » the City of Culture” in 1995

c’est une vertu qui commande de ne pas faire d’excès, de goûter les plaisirs de la vie avec une juste mesure .Dans le tarot, elle est figurée par une femme ailée qui verse le contenu d’un récipient dans un autre .Selon la tradition ,elle mélange ainsi l’eau du vin pour l’adoucir.

Les totems
Niki de Saint Phalle a toujours été fascinée par la culture des Indiens d’Amérique.En 1993,elle s’est installée en Californie, un état d’Amérique proche de la frontière mexicaine.Elle s’est inspirée de la légende de Califia,une reine noire vêtue d’une armure dorée et chevauchant un aigle.Elle était capable de dompter tous les animaux même ceux dont elle avait peur, comme les serpents.Pour réaliser les totems elle a travaillé en collaboration avec les indiens d’Amérique.

Comments Commentaires fermés sur Le monde de Niki Phalle. (rédigé par un ou une lectrice)

Bonjour,

L’implantation d’un champ éolien va se heurter à la nouvelle législation qui s’annonce. Le parlement doit se pencher sur le sujet rapidement.

Après la centrale nucléaire qui, il faut bien le reconnaître, dénature un tant soit peu le paysage les éoliennes vont achever le panorama. Il suffit de traverser le département de la Meuse, sans aller trop loin, pour s’en rendre compte.

Avant l’installation, une étude précise est conduite par le concessionnaire qui vérifie si la situation est rentable. Ensuite, une fois implanté, il n’a cure des perturbations qu’il peut occasionner. Ainsi, à SORCY-Saint-MARTIN (55)
les habitants de ce petit village qui ne captent plus les chaines hertziennes se sont constitués en association pour obtenir gain de cause, sans succès. L’entreprise éolienne refuse de placer un filtre, même peu onéreux, mais dont la pose constituerait un précédent !

Le propriétaire du terrain où sont montés ces mâts hideux se frotte les mains mais la commune elle, avant la disparition de la taxe professionnelle, quel est son intérêt à terme ?

Je lis avec attention vos articles qui apportent un éclairage différent et intéressant, en particulier sur l’actualité locale. Il est bien dommage qu’ils ne suscitent pas plus de réactions ou de commentaires pour animer le débat d’autant qu’il est quasiment certain que les édiles consultent ces lignes.

Cordialement un lecteur.

Une lectrice

Difficile ! On ne peut qu’être favorable aux éoliennes. Ce qu’il faut vérifier c’est le cout d’investissement et d’entretien et leur durée de vie pour se faire une idée du cout réel du KWH. J’avoue ne m’y être jamais attardé.

Bien sur le lieu d’implantation reste problématique, dans un courant d’air, accessible, à proximité d’une ligne électrique, pas trop de pollution visuelle et le gros défaut semble-t-il c’est le bruit.

Alors la forêt, bien sur c’est mon domaine. Il ne faut pas en faire un terrain de jeux, ni un sanctuaire, mais c’est bien vrai qu’on s’en sert pour n’importe quoi. Je préfère des éoliennes à une route. Le gibier s’habitue aux bruits continus. La parcelle de forêt à proximité de la centrale où les tours de refroidissement font un vacarme infernal sont très giboyeuse. C’est rare qu’on n’y trouve pas de sangliers et des chevreuils.

Qui sont les heureux propriétaires des terrains sur lesquels seront implantées ces éoliennes ? Si c’est la commune c’est super, car semble-t-il, le montant du loyer du terrain est très interressant.

UNE LECTRICE

Comments Commentaires fermés sur Nos lecteurs nous écrivent….

 Peux tu en quelques mots te présenter à nos lecteurs ??

1)      Je m’appelle Briot Teddy, j’ai 17 ans, je suis né le 18 juin 1994, je suis actuellement en terminale Bac Pro mécanique au lycée la Briquerie de Thionville.

 

Mes sponsors ….

 2) Tu es jeune  , quelles sont tes passions sportives?

2)      Le moto-cross me procure des sensations que j’adore ; les sauts, les virages, la vitesse, c’est vraiment cool. Je pratique également la course à pied, la natation et le vtt. J’aime le sport en général mais je me sens heureux sur une moto. Cette notion de liberté de vitesse sur des espaces naturels donne un sentiment remarquable.

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3) Ton père m’a raconté que la pratique de la moto nécessite un budget important. Comment faites vous pour équilibrer votre budget.

3)      Oui en effet, je vends des t-shirt portant mon nom et le nom des commerçants qui on m’aident. Je  remercie ceux qui achètent ces t-shirt et qui nous aident. Vous pouvez voir le nom de ces sponsors ou généreux partenaires sur le véhicule de transport mais aussi sur ces superbes tee shirt. Je suis à la recherche de sponsors. Je peux promettre que je saurai  être à la hauteur de la confiance qu’ils m’accordent.Moi j’suis fier lorsque je vois des gens de notre commune porter un tee shirt à mon nom, c’est super.

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4) Quelles sont tes ambitions dans ce sport ?

4)      Mon rêve serait d’atteindre le meilleur niveau possible en moto-cross, pour cela j’ai besoin de beaucoup d’entraînements et aussi des moyens financiers corrects pour pouvoir financer la saison et la moto. Je crois sincèrement en mes qualités j’ai la passion je peux y arriver, ensuite c’est une question de moyens. Je souhaite véritablement réussir. Je m’entraine beaucoup mes parents m’encouragent les amis également, j’espère pouvoir donner du plaisir et rendre à cet entourage la confiance qu’il m’accorde par un succès cette saison.

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5) Une saison de moto nécessite quel budget?

5)      Pour faire une saison complète le budget est d’environ 15000 euros avec l’achat de la moto. Ensuite nous limitons les frais car mon père est un excellent mécanicien et les amis sont très solidaires mais j’ai bien conscience que cette somme est importante.Mes parents font des sacrifices, j’en ai conscience je souhaite aussi gagner pour eux. Jai fait des stages avec des champions mais cela coute cher. Néanmoins j’apprends beaucoup lors de ces stages. Vous connaissez mon père mes parents, nous avons des valeurs et le travail est important pour nous, j’espère que la passion et le travail seront récompensés.

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Un saut en moto cross peut aller jusque 4/5 mètres.

6) Alors avec le sourire on peut dire aussi que tu es de soetrich… Soetrich c’est important à Hettange Grande.

6)      Oui c’est un coin tranquille, il manque juste un terrain de moto-cross…(sourire). Hettange Soetrich c’est chez moi, c’est important. Soetrich c’est une histoire, Hettange c’est la ville, j’aime les deux mais c’est normal.

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7) Que pouvons nous te souhaiter pour les mois qui viennent.?

7)      Il faut que je m’entraîne le plus souvent possible, avoir une bonne moto et une très bonne condition physique, mais pour cela il faut des bons moyens financiers pour payer les déplacements, les pièces, l’équipement… Eviter la blessure c’est aussi important  , enfin il me faut un peu de chance, la chance qui permet de faire la différence le jour « j ». Mais je sais aussi que la chance il faut la provoquer , sur ce point je vais tout donner pour être récompensé de mes efforts , des efforts de ma famille mais aussi de celle des amis et sponsors. Je sors d’une blessure assez importante et j’ai à présent l’autorisation du médecin pour reprendre.

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8) Ton souhait ????

8)      J’aimerai rouler le plus vie possible et faire de bonnes saisons.

C’est vraiment sympa de me donner la parole sur votre site, j’espère que cela va me permettre de me faire connaitre dans notre ville mais aussi ailleurs. Peut être également que des sponsors vont être sensibles à mes besoins. Mes parents se donnent beaucoup de mal pour moi , ce sont nos valeurs familiales. Je vous dis un grand merci et je vous promets que je vais faire briller l’image d’Hettange Grande Soetrich  « avec passion ». Salut a vous. Merci

Anne Grommerch. Députée .

www.teddybriot.e-monsite.com

 

 

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Nouvelle hausse du prix de l’eau

Pour les habitants d’Hettange-Grande, l’année 2011 s’est achevé par une nouvelle augmentation du tarif de l’eau votée lors du dernier conseil municipal, le 14 décembre dernier. Un vote qui est passé de justesse (12 pour, 8 contre, 4 abstentions) et qui aura pour effet d’augmenter le prix de l’eau de 30 centimes à partir du 1er Janvier 2012 soit une augmentation de 105% en 9 ans.

Avec cette nouvelle hausse du tarif de l’eau, c’est le système même de son calcul qui doit être remis en cause pour assurer à tous un accès minimal et cela à un coût raisonnable.

Vers un calcul différent du prix de l’eau

Afin d’assurer à chacun un droit à une quantité minimale d’eau couvrant les besoins élémentaires et cela à un tarif bon marché, la mise en place d’un calcul différent du prix de l’eau s’avère une nécessité.

Avec l’instauration de trois tranches appliquant une progressivité entre elles, le prix au m3 serait différent selon la tranche dans laquelle le consommateur se trouve.

Au-delà de la première tranche couvrant les besoins élémentaires de chacun, le tarif au m3 serait plus élevé pour les personnes ayant un surplus de consommation lié à leur confort. Enfin, au-delà de ce deuxième seuil, un troisième tarif pour les très fortes consommations dites « luxueuses » serait mis en place afin d’assurer une plus juste équité dans l’accès à l’eau.

Mathieu …..

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L’editorial : Autoroute ? RER ? Les travailleurs frontaliers trinquent…..et la région meurt ( MOSELLE) !

Depuis 10 ans, le sujet d’une l’autoroute bis a été largement évoqué par les élus et autres parlementaires Lorrains. Les uns favorables à une nouvelle autoroute, les autres préférant le gel du projet sans mettre en avant une alternative crédible.

Aujourd’hui force est de constater que rien n’avance, les alternances poussent à un immobilisme qui isole économiquement notre région pour longtemps. Avait -elle besoin de cela, alors que la santé économique de notre voisin luxembourgeois est édifiante avec ses 5 % de croissance. Nos élus seront ils aussi mauvais dans le choix et dans les propositions que ceux qui ont mis 25 ans a avoir le TGV dans nos départements, alors que d’autres régions profitaient d’un boum économique.

Loin de moi l’idée de vouloir, tel un grand manitou avoir la bonne réponse. Je constate simplement que des milliers de frontaliers souffrent chaque matin sur la route pour passer la frontière.
Et pendant ce temps, ou se trouvent les grands penseurs de la Région au Maire de Thionville ?
S »inquiètent t’ ils? eux qui parlent d’écologie et de bien être, de la santé de ceux qui tous les matins arrivent au travail exaspérés par tant d’inertie, stressés par la route , les accidents, le mépris.

Bien sûr ils parlent du ferroviaire, normal c’est une possibilité, comme le bus .
Aujourd’hui, le Maire de Thionville sort un nouveau projet le RER. Honnêtement c’est une idée ….. a étudier peut être, mais il faut surtout concrétiser et là c’est une autre affaire pour des idéologues accaparés par une carrière politique et plus prolixes dans les attaques édifiantes à l’encontre de certains de leurs homologues, qui peuvent pourtant se flatter d’un bilan et non pas d’un passif.

Il convient d ‘intégrer dans une prise de position l’évolution démographique mais aussi l’aspect économique et l’évolution des déplacements urbains ou inter-urbains du futur.

A ce jour , force est de constater que seul le dogme dirige la pensée de ces gens qui font croire de s’intéresser à un problème sans jamais donner de solutions, et c’est là, que le bas blesse. Imaginez ce que pourrait être le réseau routier aujourd’hui si voilà 30 ans, la jonction de l’autoroute n’avait pas été réalisée entre Illange et le Luxembourg.

Je ne vous parle même pas de la traversée d’ Hettange-Grande, qui est paralysée et qui décourage chacun de s’y arrêter. Mais là aussi, le conservatisme, l’aveuglement persiste et aucune initiative n’est prise.

A n’en pas douter, les prochaines années verront une évolution des mentalités en terme de transport. Ces changements interviennent en raison de la hausse du pétrole , de l’écologie et de la protection de l’environnement, les transports collectifs seront sans aucun doute d’un intérêt majeur. Mais, il ne faut pas être énarque pour constater que les foyers possèdent aujourd’hui deux ou trois voitures. Il faut bien circuler et l’éloignement des activités professionnelles, le libéralisme des horaires de travail obligeront toujours à l’utilisation de ce moyen de locomotion, sans oublier le transport routier commercial qui transite par cet axe Nord sud pour faire vivre l’économie locale.

En conclusion, lorsque l’on préside la région ou une grande ville comme Thionville, plus que de noyer le poisson , il faut décider au risque d’asphyxier économiquement cette zone frontalière.

Alors après avoir utilisé tous les artifices pour renoncer à agir au bénéfice de vos concitoyens, messieurs les penseurs de la Région et autre Maire de Thionville, Réveillez vous avant que la région ne s’enferme dans une paupérisation économique.

Messieurs les élus de la Région et de Thionville a vous de jouer et de prendre vos responsabilités.

LE COUP DE GUEULE :

Dernier mot , cela fait bien longtemps que j’emprunte l’A31 mais je dois reconnaitre que jamais je n’ai constaté que cet axe routier était aussi sale, avec des mauvaises herbes qui débordent, des détritus sur les entrées d’autoroute et là encore l’inertie est éloquente au détriment de l’image de notre département.
Thionville porte de France et le département méritent mieux qu’un abandon.

Question :

Décidément, il faudra un jour m’expliquer pourquoi un pays de 400 000 habitants bénéficie d’un confort de vie éloquent, et que nous autres à quelques kilomètres de là, nous régressons en permanence avec un pouvoir d’achat nul, une croissance en régression, un avenir incertain. Ah si le Luxembourg pouvait étendre ses frontières !!!!

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Présentation de l’éditeur

 » Si vous n’êtes romain, soyez digne de l’être « . Pendant quinze siècles, ce vers de Corneille a porté l’ambition française : être reconnue comme l’héritière de Rome, de son Etat, de sa langue, de sa manière unique d’assimiler les étrangers – à la fois hautaine et égalitaire – et même de sa façon d’imposer la paix en Europe. Dans son style à la fois documenté, précis et paradoxal, Eric Zemmour raconte cette obsession autour de laquelle s’est tissé notre roman historique national. Philippe Auguste, Louis XIV, Napoléon, Clemenceau croient toucher au but. Mais à chaque fois un croc-en-jambe les fait chuter, tantôt la puissance anglo-saxonne – notre  » Carthage  » – ou bien la force allemande – notre meilleure élève. A chaque fois aussi, la France s’invente des raisons d’y croire à nouveau, que celles-ci s’appellent les colonies, de Gaulle ou l’Europe. Sauf qu’aujourd’hui la mécanique impériale est cassée. Comme si nous vivions déjà à l’heure de la chute de l’empire, submergés par de nouveaux  » barbares « …

Biographie de l’auteur

Eric Zemmour, éditorialiste au Figaro Magazine et à RTL, est aussi l’un des chroniqueurs de l’émission  » On n’est pas couché  » et de l’émission politique  » Ça se dispute  » sur itélé. Il a notamment publié Petit frère (Paris, Denoël, 2008), Le Premier Sexe (Paris, Denoël, 2006), L’Autre (Paris, Balland/Denoël, 2004).

Présentation de l’éditeur

 » La crise. On ne parlait que de ça, mais sans savoir réellement qu’en dire, ni comment en prendre la mesure. Tout donnait l’impression d’un monde en train de s’écrouler. Et pourtant, autour de nous, les choses semblaient toujours à leur place. J’ai décidé de partir dans une ville française où je n’ai aucune attache, pour chercher anonymement du travail. J’ai loué une chambre meublée. Je ne suis revenue chez moi que deux fois, en coup de vent : j’avais trop à faire là-bas. J’ai conservé mon identité, mon nom, mes papiers, et je me suis inscrite au chômage avec un baccalauréat pour seul bagage. Je suis devenue blonde. Je n’ai plus quitté mes lunettes. Je n’ai touché aucune allocation. Il était convenu que je m’arrêterais le jour où ma recherche aboutirait, c’est-à-dire celui où je décrocherais un CDI. Ce livre raconte ma quête, qui a duré presque six mois, de février à juillet 2009. J’ai gardé ma chambre meublée. J’y suis retournée cet hiver écrire ce livre. « , Florence Aubenas.

Biographie de l’auteur

Née en 1961, Florence Aubenas a fait la plus grande partie de sa carrière de journaliste à Libération, avant de devenir grand reporter au Nouvel Observateur. Depuis juillet 2009, elle est présidente de l’Observatoire international des prisons.

Présentation de l’éditeur

Elisabeth Badinter reprend la plume pour un nouvel essai : ‘Le conflit. La mère et la fille’.
Elle constate un repli inquiétant sur le terrain des droits des femmes, lequel se manifeste, par exemple, par la forte baisse de la natalité dans tous les pays développés (bien moins nettement en France comme on sait), la hausse conjointe du nombre de femmes qui ne veulent pas avoir d’enfant (en dix ans, la proportion a doublé), le regain des discours naturalistes visant à river les femmes à leur rôle de mère, et plus spécifiquement par le biais d’un diktat concernant l’allaitement
La barque de la maternité est aujourd’hui chargée de trop d’attentes, de contraintes, d’obligations. Il y a péril tant pour la femme et le couple que pour le lien social : quelle perspective offre une société où le fait d’avoir un enfant serait le lieu d’un clivage fatidique ?

Biographie de l’auteur

Philosophe, spécialiste de la pensée des Lumières, Elisabeth Badinter est l’auteur de L’Amour en plus, XY. De l’identité masculine, L’un est l’autre, Fausse Route.

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Moins de 48 heures après la parution  de notre article sur l’état de la voirie, les trous ont été réparés. Remerciements au personnel municipal.

Rue Van Gogh

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Rue des FleursDSCF4158

 

 

Un Week- end sportif avec le FC Hettange Grande.

Le tournoi de foot du Fc Hettange pour les catégories U11 et U 13 aura  eu encore une fois, un grand succès. Les bénévoles et l’équipe du président Michel BARDIN  auront encore une fois donné du temps, du courage et du sourire pour assurer l’intendance, la logistique pendant que Marc BAUCHERT veillait avec une rigueur remarquable aux succès des rencontres. Bravo aux bénévoles, aux arbitres, aux joueurs !

A noter la visite surprise et  appréciée du joueur du Fc Metz Yeni N.BAKOTO qui a apporté par sa présence, son sourire et sa gentillesse, une notoriété  supplémentaire à cet évènement. Comme une pops star il a signé, encore signé des autographes afin de satisfaire les jeunes joueurs présents.

Dignement, il aura ainsi représenté le club grenat en donnant de son temps pour combler de joies le public présent et reconnaitre l’investissement des gens qui travaillent dans les milieux associatifs et sportifs.

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Halte aux caricatures : les profs heureux, ça existe aussi

Le tableau sombre de l’Education nationale qu’on dressait il y a peu sur Rue89 a fait réagir les riverains. Kokkino – prof à la retraite – tient à le dire : l’EN n’est ni un paradis, ni un enfer.

Extrait du film "Le maître d'école" de Claude Berri, avec Coluche (1981).

Publié pour la première fois en avril, l’article « Profs ou instits, déprimés et mal formés, ils ont démissionné » racontait pourquoi Kevin, Céline et Anne-Sophie ont quitté l’Education nationale.

En cause : une incompatibilité d’humeurs et des vices cachés.

Posté une deuxième fois (sorti de nos archives ce mercredi), il a eu l’occasion d’énerver doublement certains profs. Par sa noirceur. Rossodisera est agacé :

« Il est clair que tout n’est pas rose mais j’en ai un peu ras le bol de lire et d’entendre toujours les mêmes rengaines. »

Halte aux caricatures

Lambertine pense que si les trois profs de l’article étaient si malheureux – au point de démissionner – c’est avant tout parce qu’ils n’étaient pas faits pour le job (l’incompatibilité d’humeur a été décisive) :

« Enseigner, tout le monde (moi la première) n’est pas fait pour ça. Mieux vaut s’en rendre compte avant d’avoir fait une dépression nerveuse et détruit des classes entières d’élèves. »

Romain p renchérit :

« Je pense qu’il y a plein de métiers où il ne faut pas être trop romantique, trop rebelle, trop sensible […]. Ça fait 15 ans que je suis prof, je pense pouvoir dire que ce n’est pas un métier facile, mais enfin, ça pourrait être pire, on pourrait pointer en usine.

C’est un très beau métier, et vous savez quoi ? Il y a des gens qui ne sont pas faits pour ce métier, pour telle ou telle raison, comme les trois exemples pris ci-dessus [dans l’article, ndlr], et il est d’ailleurs bon qu’ils aient démissionné […].

Les caricatures m’ennuient. »

Les profs heureux, ça existe. Le bonheur pousse aussi dans les salles de classe.

« Untel a eu 4 enfants, untel est décédé »

Des profs solides qui encaissent les réformes sans trop s’énerver, il y en a (même si on s’attendait à Rue89 à plus de témoignages optimistes).

Bertrand Simon décrit :

« Malgré toutes les contraintes, toutes les difficultés, j’ai toujours plaisir à repérer dans les yeux de quelques-uns que j’espère toujours être plus, le plaisir d’avoir appris.

Enseigner ce n’est pas seulement faire ingurgiter du BO, c’est aussi transmettre des valeurs. »

De son côté, –Candide– se souvient d’un prof aux yeux lumineux :

« De passage 20 ans après mon bac dans ma région natale, j’ai rencontré par hasard un de ces profs extraordinaires avec qui j’avais “accroché”.

Je l’écoutais me parler des élèves de ma promo dont il avait eu des nouvelles et dont j’avais parfois moi-même oublié le nom : untel est devenu médecin, il est parti en Afrique, untel a eu 4 enfants […], untel est décédé d’un accident, etc… Pendant qu’il me racontait toutes ces tranches de vie, j’observais la passion qui l’animait toujours. »

Le bonheur de se faire appeler « Maîcresse »

Les profs trouvent dans l’enseignement des sources de satisfaction personnelles.

Le pragmatique Kokkino :

« Au début, j’avais un peu honte de faire un boulot aussi ringard ( c’était dans les années 80), mais peu à peu, ce boulot je l’ai aimé, j’y ai pris plaisir, surtout grâce aux élèves […].

C’est un métier qui comporte des avantages non négligeables : une totale sécurité de l’emploi, des horaires compatibles avec la vie de famille, une certaine liberté dans l’organisation de son travail ( liberté qui a, certes, tendance à se restreindre…). »

Le petit plus sentimental de iakob :

« Oui : faire ses classes est éprouvant. Après un certain nombre d’années dans l’enseignement, je me souviens du premier jour aussi.

A l’époque, j’avais passé le concours du Deug pour être instit. Sans formation, je me suis trouvée parachutée dans une maternelle dans une zone défavorisée de Dieppe. Les petits, moi, je ne connaissais pas.

Un accueil dans mon école de rattachement peu amène : la pause café édifiante. Que faisais-je dans cette galère ? Le milieu, féminin exclusivement ; après deux jours d’observation, une instit absente, je deviens “maîcresse”. Et là, une pagaille immense : le travail par groupes d’activité, le bruit des 30 élèves et plus, et puis, les pauses pipi qu’on induit par une marche éprouvante, en chantant “Le petit train s’en va dans la montagne…”, un rang parfait, une marche à reculons, pour rester en contact visuel avec les enfants, et la récréation, 20 minutes, une demi-heure, je ne sais plus…

Toujours est-il que pour moi cette première récréation a duré bien plus ; je suis allée voir mes collègues, et j’ai dit que je devais ranger la classe ; j’ai ouvert les fenêtres, allumé une cigarette, et oui, et j’ai fait le ménage ; ma première journée.

Je me souviens de la visite de l’inspectrice, pas pour moi, pour une collègue chevronnée, et l’angoisse de toutes, comme des enfants craignant de se faire taper sur les doigts. Je me souviens de la seule chanson que mon enfance m’avait laissée, “Frère Jacques”, que je distillais avec abnégation, heureusement, j’étais remplaçante, je n’avais pas toujours le même public.

Je me souviens de la visite de la conseillère pédagogique, se prenant pour l’inspectrice, qui elle-même se prenait pour le gardien des institutions. Je me souviens d’une directrice me racontant que de son bureau, l’école était intégrée dans un magma d’immeubles, elle avait vu un père secouer son enfant par la fenêtre, au 8ème étage, pour lui faire apprendre la vie.

Je me souviens d’un élève, en première section de maternelle, âgé de deux ans, lors d’une séance de “graphisme”, qui dura 3 secondes. Je me souviens de ma solitude. Et puis cela me rappelle l’étrange impression de me voir “faire la classe”, et de me moquer de celle qui n’était vraiment pas à sa place.

Le soir, après quelques kilomètres de route, épuisée, je ne songeais qu’au lendemain, que pourrais-je encore inventer, pour développer leur curiosité, leur approche de l’art, leur habileté manuelle, leur expression physique, leur goût pour les comptines, leurs apprentissages : en fait, ce que je préférais, c’est leur raconter des histoires, moi sur la p’tite chaise, eux assis par terre, les yeux levés sur les images.

Bon heureusement, après j’ai passé le Capes de lettres. Et j’aime mon métier, vraiment. »

Est-ce que Astérix a existé ?

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Priorité à la conduite accompagnée

Le gouvernement a annoncé de nouvelles mesures concernant l’examen du permis de conduire, et visant notamment à promouvoir la conduite accompagnée, qui donne de meilleurs résultats.

Un permis de conduire

    Un permis «moins long, moins coûteux et plus sûr». Ce sont les objectifs que le gouvernement s’était fixé en janvier 2009. Un an après, le bilan semble être plutôt positif.

    «Dans près de 80% des départements, les délais de passage à l’examen pratique ont été réduits à deux mois», se félicite le secrétaire d’Etat aux Transports, Dominique Bussereau ce jeudi. Cette réduction s’est notamment faite grâce au recrutement de 35 inspecteurs. «Mais permis plus rapide ne veut pas dire permis plus facile», précise-t-il.

    A compter du 1er avril, l’épreuve théorique générale (ETG) plus couramment appelée «code» fera peau neuve. «On va supprimer les questions pièges, ringardes et obsolètes», confesse le secrétaire d’Etat qui souhaite mettre en place des questions «malignes». Celles-ci seront aussi «plus citoyennes» et porteront sur des nouvelles thématiques comme le comportement à adopter face aux tramways et aux voitures électriques.

    Formule simplifiée

    Outre une réforme de l’épreuve théorique, première étape du processus d’obtention du papier rose, trois nouvelles formules de conduite accompagnée (AAC) sont également mises en place.

    «La formule existante demeure mais elle est simplifiée», explique Dominique Bussereau. L’accompagnateur ne doit plus forcément être âgé de 28 ans mais doit être titulaire du permis depuis cinq ans. Il n’y a par ailleurs plus de durée maximale – fixé auparavant à trois mois – pour parcourir les 3.000 kilomètres nécessaires.

    «Nous allons aussi créer deux nouvelles offres de conduite accompagnée», ajoute le secrétaire. La première vise les plus de 18 ans. Celle-ci sera pour l’occasion plus adaptée à leurs besoins. Après validation du code et vingt heures de conduite en école comme pour l’AAC traditionnel, le candidat aura trois mois pour parcourir 1.000 kilomètres.

    En revanche avec cette formule, la durée probatoire du permis de conduire, pendant laquelle le conducteur ne possède que 6 points sur son permis et ne peut rouler qu’avec vitesse inférieure à la normale, ne sera pas réduite. De trois ans pour les permis B «traditionnels» elle est maintenue à deux ans pour les personnes ayant suivi la conduite accompagnée.

    La dernière innovation concerne les élèves de filières professionnelles qui se destinent aux métiers de la route (BEP ou CAP de conducteur routier). Ils pourront, après accord de leur chef d’établissement, choisir l’accompagnateur qu’ils veulent, pour pouvoir par exemple réaliser leurs heures de conduite durant la journée de travail.

    Le gouvernement insiste donc pour développer le recours à la conduite accompagnée qui donne un plus grand taux de réussite à l’examen (70% de réussite contre 64 pour les permis B normaux). Autre mot d’ordre: «l’apprentissage d’une conduite vertueuse, plus respectueuse de l’environnement».

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