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Le salage des routes a un impact considérable sur l’environnement

Le salage des routes a un impact considérable sur l’environnement
Depuis le début de l’hiver, deux millions de tonnes de sel ont été déversées sur les routes de France. Une technique efficace contre le verglas et la neige, mais nocive pour l’environnement, alertent les écologistes qui appellent à une utilisation raisonnée de cette méthode.
Avec 1,9 million de tonnes de sel déversées sur les routes françaises depuis le mois de novembre, l’hiver 2010-2011 a battu un record, et la saison est encore loin de s’achever. Le sel est le principal fondant utilisé en Europe pour rendre les routes accessibles par temps de gel et de neige. Mais il a « un impact considérable » sur l’environnement, rappelle la fédération France Nature Environnement (FNE), qui regroupe près de 3.000 associations écologistes.
Le sel brûle en effet le feuillage des végétaux, peut provoquer un dessèchement des racines, mais aussi affecter les cours d’eau et modifier les propriétés des sols, et notamment leur perméabilité, souligne Demba Diedhiou, chargé de projets Transports chez FNE. Pour limiter cet impact, Jean-Stéphane Devisse, du WWF, plaide en faveur d' »un usage plus ciblé et plus circonstancié du salage ». Toutefois, il tempère : « Il ne faut pas dramatiser le problème et jouer les irréductibles, tout simplement parce qu’au bout, il y a des questions de sécurité publique ».
Certains pays ont déjà décidé d’encadrer le recours du salage, pour éviter qu’il ne soit systématique. L’Autriche l’a ainsi interdit sur de nombreuses routes, tandis que la Finlande impose un quota de sel aux opérateurs, ceux-ci se voyant verser une prime s’ils en utilisent moins que prévu. Au Japon, le sel est parfois remplacé par des techniques permettant de réchauffer la route et ainsi faire fondre la neige par géothermie. De l’électricité d’origine éolienne est également utilisée pour limiter le salage.
Aujourd’hui, FNE réclame la mise en place en France d’une « réglementation permettant la hiérarchie des usages et solutions à mettre en oeuvre en cas d’épisode neigeux ou de gel persistant« . La fédération préconise notamment l’utilisation du sable, mais comme le souligne Mario Marchetti, du laboratoire des Ponts et Chaussées de Nancy, cette solution ne semble pas réellement en être une. « Son extraction, son poids, son coût posent problème. On peut s’interroger sur le bilan carbone du sable« , souligne-t-il.
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Première : un test de la grippe A en ligne

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Depuis mardi matin, il existe un test disponible gratuitement sur Internet pour tous ceux qui veulent savoir si eux-mêmes ou l’un de leurs proches souffrent effectivement de la grippe A (H1N1). Il a été mis au point par une équipe de quatre personnes (un médecin urgentiste pionnier de la télésanté, Dr Loïc Étienne, fondateur du site docteurclic.com, un spécialiste de l’information médicale et grand public, Antoine Vial, un ingénieur en intelligence artificielle et web-entrepreneur, Christophe Gareyte et une spécialiste du développement économique des applications en télémédecine, Claudette Humbert-Mulas). Et, précisent-ils, indépendamment de tout intérêt financier, industriel, politique et commercial.
Leur aventure a commencé cet été. Devant l’éventualité d’une pandémie de grippe A (H1N1) annoncée et pour répondre aux besoins d’information et aux inquiétudes du grand public, ils ont créé quizz-grippe . Il s’agit du premier questionnaire francophone d’auto-évaluation réalisé par des professionnels à destination du public, mis en ligne sur Internet, avec trois questions-clés : « Ai-je attrapé la grippe ? », »Est-ce grave ? » et « Que faire ? » La pertinence du test est fondée sur une connaissance clinique de la grippe et de la médecine d’urgence, alliée à la prise en compte des données épidémiologiques.
Sur la base des signes (symptômes) et de caractéristiques (âge, antécédents, lieu de résidence, etc.) déclarés par l’internaute via un échange de questions-réponses d’environ 3 minutes, quizz-grippe évalue le risque d’avoir attrapé la grippe A (H1N1) ou saisonnière, propose une orientation selon la gravité et le degré d’urgence suspectés : consulter son médecin, appeler le 15, etc. Ce site suggère aussi des conseils pratiques : les attitudes, les gestes à faire, le recours à l’automédication, etc. Par ailleurs, il propose une information thématique sur les différentes grippes. Il est donc à consulter à la moindre inquiétude, pour se rassurer ou agir à bon escient.
http://www.quizz-grippe.fr
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Ce mercredi 6 avril 2011, plusieurs commerçants ont fait part d’un certain mécontentement alors qu’ils venaient comme tous les mercredis pour le marché. La place était encore occupée par les forains qui devaient selon nos informations prendre la direction de Sierk les Bains mais qui en l’absence d’autorisation n’ont pu confirmer ce départ, entrainant du même coup le mécontentement des commerçants ambulants qui devaient s’installer sans avoir été avisé de ce contre temps.
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ctu-match | jeudi 11 août 2011
Jean Kiffer, le bâtisseur-provocateur s’en est allé
| Photo Maury Galini/Le Républicain Lorrain/Maxppp
Jean Kiffer, le maire d’Amnéville-les-Thermes en Moselle, s’est éteint dans la nuit, à l’âge de soixante-quinze ans. Ancien député, son parcours politique est très étroitement lié à celui de la commune, qu’il dirigeait depuis 1965.
Antoine Delthil – Parismatch.com
Amnéville a perdu son maire. Jean Kiffer, soixante-quinze ans, est décédé dans la nuit. D’après les informations de la radio France Bleu Lorraine-Nord, il aurait été découvert au petit matin par son épouse, inanimé sur le canapé de son domicile. Ses obsèques devraient avoir lieu samedi prochain, indique France 3 Lorraine. C’est une personnalité politique phare du département mosellan qui vient de s’éteindre. L’élu divers droite (DVD) était en effet à la tête de cette commune d’une dizaine de milliers d’habitants depuis quarante-six ans, sans interruption.
Natif de Merten, près de la frontière allemande en 1936, l’homme a été médecin avant de se lancer en politique (Il signait d’ailleurs tous ses discours «docteur Jean Kiffer»). En 1963, il installe son cabinet à Amnéville, alors dirigée par un maire PC. Il racontait en février dernier à «France Soir» sa conquête de la ville: «Un jour, j’ai appris l’existence du vieux bastion rouge d’Amnéville. J’arrive ici – je ne connaissais pas – et je découvre l’enfer, la désolation: quarante ans d’oppression communiste… J’ai dit: « Merde, je m’installe, je ne bouge plus et je fous les cocos en l’air! » Mon programme était simple: « Vous êtes prisonniers du marxisme, je vais vous libérer ». Un an après mon arrivée, j’étais élu», racontait alors celui qui se définissait volontiers comme un «anti-communiste primaire».
Une réputation de bâtisseur
Son règne en tant que maire, assorti de mandats de député (1973-1978 et 1986-1997) aura été marqué par la reconversion de la ville, qui a trouvé un nouveau souffle grâce au tourisme thermal (le statut de station thermale a été obtenu en 1987), après la fermeture de nombreuses sidérurgies dans le secteur. Des réussites qui ont forgé sa réputation de bâtisseur.
Dirigeant la ville d’une main de fer, l’homme était connu pour ses coups de sang à l’encontre de ses détracteurs. Certains des derniers articles publiés sur son blog en donnent un bon aperçu. Condamné par la justice à de nombreuses reprises (il se décrivait parfois comme «le maire le plus condamné de France»), il avait écopé en mai dernier d’un mois de prison ferme pour outrage à magistrat, une décision dont il avait fait appel. Il voulait instaurer dans sa ville, qu’il estimait délaissée des représentants de l’Etat, une «principauté virtuelle» portant l’ancien nom allemand de la commune. Une idée qu’il avait développé lors de la cérémonie des vœux 2011 aux Amnévillois: «Puisque la république ne veut plus d’Amnéville, alors instaurons à Amnéville la principauté de Stahleim […] La république, nous lui demandons une seule chose, qu’elle nous foute la paix ».
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Suède – Une étude menée par le Dr Michaëlsson de l’université d’Uppsala révèle que commencer à faire de l’exercice même tardivement peut prolonger l’espérance de vie.
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Il n’est jamais trop tard pour se mettre au sport
Les hommes très actifs à 50 ans gagnent deux à trois années de vie supplémentaires par rapport aux hommes peu ou pas actifs au même âge et une année par rapport aux hommes moyennement actifs. Le fait de démarrer l’exercice physique à 50 ans seulement ne semble pas modifier ce gain puisque, au bout de dix ans, les hommes devenus actifs tardivement arrivent à la même espérance de vie que les hommes actifs avant l’âge de 50 ans. Pratiquer une activité physique aurait alors un impact sur l’espérance de vie similaire à celui de l’arrêt du tabac.L’étude a duré trente-cinq ans et a permis de suivre 2 205 hommes âgés de 50 ans en 1970. A cette époque, les participants ont rempli un questionnaire sur leurs activités physiques et loisirs afin de les classer dans des catégories de régularité. Des examens ont été à nouveau pratiqués à l’âge de 60, 70, 77 et 82 ans afin de mesurer les changements de pratique physique. Ces informations ont été corrélées avec d’autres informations, comme le poids, la pression sanguine, le taux de cholestérol, le fait de fumer et la consommation d’alcool.Pour être désigné comme « très actif », un homme doit pratiquer au moins trois heures de sport ou de loisirs actifs (jardinage…) par semaine : c’était le cas de près de la moitié des hommes de l’étude, à 50 ans. Les hommes actifs, pratiquant par exemple la marche ou le cyclisme, comptaient pour plus d’un tiers des hommes étudiés. 15 % n’étaient pas du tout actifs.La cinquantaine est considérée comme un « âge charnière » pour la santé des hommes. De nouvelles recherches doivent désormais montrer si l’activité physique après 50 ans est aussi bénéfique aux femmes.
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ILS SE TROMPENT DE PROJET
Fin 2010, la municipalité présentait aux habitants de notre commune la volonté de concrétiser le projet d’usine de décarbonatation.
-Il s’agit d’un projet couteux qui n’apporte qu’une solution partielle.
-Il s’agit d’un projet couteux qui aura une répercussion sur nos factures.
-Il s’agit d’un projet couteux . Estimez vous être suffisamment informés?
-Il s’agit d’un projet couteux qui va réduire les capacités financières de notre commune.
– Quelles sont les garanties sanitaires? ( femmes enceintes, enfants)
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Enfin n’oublions pas que le vote, que ce vote n’est passé en conseil municipal que grâce à la voix prépondérante du Maire alors que le scrutin était de 10 pour et de 10 contre. Aujourd’hui est ce « HettangePassion » qui va faire la différence ?
Le point.
Résultats commune par commune de la qualité de l’eau potable – France Continentale et DOM
Rappelons tout d’abord ce qu’est la décarbonatation ?
Il s’agit d’un procédé qui consiste à diminuer la dureté de l’eau. Parmi quatre procédés, l’orientation Hettangeoise consiste à choisir le mode opératoire de traitement à la chaux. Globalement le taux de dureté devrait être ramené entre 15 et 18 %. D’autres communes se sont orientées vers ce mode de gestion, la plus proche de nous est Yutz qui après référendum municipal a choisi de déléguer la prestation à la Lyonnaise des Eaux. Qu’en est il aujourd’hui à Hettange Grande / Soetrich. Les informations sur ce projet sont distillées à doses homéopathiques. Les hésitations de l’équipe municipale en place flirtent avec l’idée de le concrétiser malgré tout .
Néanmoins des interrogations lourdes de conséquences apparaissent.
-De combien le taux de dureté est-il diminué et que cela signifie-t-il à l’échelle de notre commune ?
Réponse: Le taux de dureté est diminué en moyenne de 50%. C’est à dire que globalement , l’eau qui arrive au robinet serait aux environs de 20. Il est utile de rappeler que le taux préconisé par les spécialistes varie entre 7 et 12 donc le chiffre de 20 ne suffit pas. Ce qui prouve bien que l’usine de décarbonatation ne remplace pas les adoucisseurs individuels dont de nombreux habitants sont propriétaires.
D’où les questions qui en ressortent.
L’investissement est-il réaliste ?
Quelle sera la part d’augmentation sur vos factures ?
Les représentants de la municipalité estiment une répercussion de O,50 cents par m3 ce qui devait placer le prix du m3 à 2€ 50 , pourtant ce tarif est déjà dépassé. (Voir bulletin municipal de décembre 2010 et compte rendu réunion du 2 Décembre 2010 au centre Europa).
Le cout global du projet de décarbonatation s’élève à 2 millions d’Euro et 150 000 Euro par an de fonctionnement. La revente du calcaire n’est pas estimée dans l’immédiat. Force est de constater que comparativement, l’eau a augmenté à Yutz en 2007 de 33% avec une part de +14 % pour le délégataire. Concrètement une facture aujourd’hui de 200€ passe à 240 €.
Enfin dernière question à qui va profiter cette usine de décarbonatation?
Le service des eaux de notre commune est composé de trois personnes (voir organigramme). Ce service fonctionne avec compétence courageusement malgré un effectif restreint. Derrière ce projet de décarbonatation ne se profile-t-il pas une idée de rétrocession au bénéfice d’un organisme privé?Une privatisation, nous n’osons y croire! toutefois, c‘est une question légitime qui mérite d’être posée car à combien reviendrait le prix de notre m3 d’eau en cas de cession du service.
En conclusion, pour être objectif nous pouvions penser en son temps que ce projet méritait une attention , à présent il est périmé par la conjoncture économique mais aussi, par le réalisme des femmes , des hommes, des habitants qui n’en veulent pas ! Ce projet pourrait ne pas voir le jour comme ce fût le cas de bien d’autres dont ce bassin de rétention qui devait être construit pour éviter des inondations sur Soetrich.
Aujourd’hui force est de constater qu’il serait souhaitable que la municipalité abandonne cette idée couteuse car n’oublions pas que le montant total de l’opération s’élève à plus de deux millions d’Euros. Vous n’ignorez pas que des choses plus urgentes existent comme par exemple, la station d’épuration. Le budget eau n’étant pas équilibré, est il opportun de mener à bien un projet de ce type après celui d’une fontaine à 60 000 € dont même une vente sur « ebay » n’aurait pas le succès escompté ? Il n’y a pas ceux qui d’un côté réfléchissent et les autres. En la matière il n’y a que des gens réalistes. Ces gens réalistes ne sont pas les représentants d’une équipe d’un électorat , ce sont ceux qui constatent que les factures liées à l’énergie (électricité, gaz, mais aussi eau) sont toujours plus lourdes. Ceux sont les habitants de notre commune qui ne veulent pas subir le caprice d’une réalisation fortuite tendant à alourdir la facture » eau ».
Notre station d’épuration ne répond plus à la demande, tout le monde le sait. Monsieur le Maire propose même d’équiper le lotissement de la future extension de Soetrich de fosses sceptiques, cela est invraisemblable de nos jours!
En 1992, la réglementation a mis en place un calendrier progressif demandant aux collectivités locales de mettre en conformité leur station d’épuration pour le 31.12.2005.
En 2005* pourtant, près de 40% des stations d’épuration ont été déclarées non conformes. De plus, la circulaire du 8 décembre 2006 donne autorité aux préfets pour interdire aux collectivités toute extension d’urbanisation, en cas de non-conformité de leur filière d’épuration des eaux usées avec la directive européenne du 21 mai 1991.
Mesdames et Messieurs les élus soyez garants de l’avenir de notre commune. D’autres choix plus opportuns sont à faire aujourd’hui et méritent un esprit d’ouverture. L’usine de décarbonatation ne doit pas être votre priorité. Vous devez revoir votre jugement et faire le maximum pour préserver, contrairement à vos déclarations le service public (Gendarmerie) sur le territoire de notre commune ou encore défendre la modernisation du réseau d’assainissement là ou cela est nécessaire .Vos choix engagent l’avenir d’Hettange . Vous n’avez pas le droit de pénaliser les finances communales par cette mesure dangereuse et inutile qui sera lourde de conséquence si votre choix se confirme. Vous êtes nombreux à être pertinents et sincères, ne soyez pas les représentants d’un projet qui n’est plus le bon au regard de la conjoncture mais aussi au regard plus simple de nos finances publiques dont chacun d’entre nous doit savoir que les limites sont sans aucun doute déjà largement dépassées. Une équipe municipale peut être amenée à changer d’avis sans que cela n’apparaisse comme un recul, sur ce dossier d’usine de décarbonatation , il est encore temps de dire, non !
HettangePassion.

Un commentaire »
Place financière : des restructurations sont attendues.
L’ABBL s’attend à un gel des embauches et craint de devoir négocier de nouveaux plans sociaux dans le secteur de la finance.
L’Association des Banques et Banquiers de Luxembourg (ABBL) a exprimé son inquiétude lors d’une rencontre avec la presse vendredi.
Ainsi, le directeur, Jean-Jacques Rommes a fait savoir que le secteur financier au Grand Duché, n’avait pas encore traversé la crise.
Selon, La Voix de samedi, les banques sont touchées par « ricochet », mais cela est suffisant pour que le secteur se retrouve affaiblit.
De ce fait, le directeur de l’ABBL s’attend à des restructurations au Luxembourg et craint que les syndicats soient amenés à négocier de nouveaux plans sociaux dans les mois à venir.
Actuellement, le secteur financier emploie environ 40.000 personnes, mais selon l’ABBL, la tendance générale est maintenant « au gel des embauches » et le secteur ne sera probablement plus un moteur pour l’emploi.
Commentaires fermés sur Secteur bancaire au luxembourg.
Hettange passion est toujours satisfait de voir que son site est lu mais que suite à ces lectures des décisions sont prises. Depuis nos articles, quelques améliorations ont été apportées au colombarium. 25/10/2009.


Le columbarium mérite un mot. Nul doute que notre cimetière est bien entretenu. Néanmoins nombre de nos concitoyens sont peinés par l’absence de suivi du plan d’occupation des « cases ». Les familles qui se recueillent soulignent que certaines cases sont vides délaissées abandonnées. Le respect de la mémoire implique sans doute une autre gestion de cet endroit si sensible au cœur des gens touchés par le deuil.

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